Née à Morges le 11 août 1917, Elisabeth Burnod, après une enfance passée au pied du Jura, fréquente le collège de sa ville natale où enseigne son père, puis poursuit ses études au Gymnase de Lausanne.
Parcours de vie
Elisabeth Burnod commence par travailler à la Radio suisse romande, puis une fois mariée, elle séjourne quelques années à Paris. Lorsqu'elle revient vivre à Lausanne, elle assume durant près de vingt ans (dès 1949) la fonction d'attachée de presse du Comptoir suisse à Lausanne.
Evénements, réalisations et œuvres marquantes
Domiciliée à Pully elle y écrit la plus grande partie de son œuvre. Paraissent successivement Les arrangeurs (1963), Ornements pour la solitude (1966), La femme disparue (1964) et Le dimanche papouadan (1976). On lui doit également une série de monographie ainsi que des textes écrits pour la radio.
Fin de vie
Lauréate du Prix des écrivains vaudois 1975, Elisabeth Burnod décède le 6 mai 1979.
Sources
Alain Nicollier, Henri-Charles Dahlem, Dictionnaire des écrivains suisses d'expression française, vol. 1, p. 150-151; Histoire de la littérature en Suisse romande, sous la direction de Roger Francillon, vol. 3, p. 319; Ecrivaines et écrivains d'aujourd'hui, 1988, p. 277 #bnch[BCU14/DOV/bs/2017/06]
Notes
En 1975, Élisabeth Burnod reçoit le Prix des écrivains vaudois pour l'ensemble de son œuvre. Consulter les coupures de presse relatives à Elisabeth Burnod dans les Archives du Temps.